par Carmen Larivière, ancienne du Refuge, aujourd’hui l’Oustal
La Planque :
Je me souviens c’était en 1978, une fille de l’Oustal Catherine M. s’était faite renvoyée par le Directeur. Elle devait donc retourner à Argenteuil vivre auprès de sa grand mère qui l’avait élevée. Cette solution ne lui convenait pas pour des raisons qui lui appartenaient, de plus son petit copain habitait à deux pas de l’Oustal.
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Dédicace inavouable :
En avril 1980 je revenais de fugue avec Brigitte. Les camps étaient tous pleins et organisés ; Il n’y avait absolument plus de place et nous ne devions pas restées au Pavillon pendant les vacances scolaires. Les éducateurs nous trouvent à Brigitte et moi un camp dans une association privée. Comme beaucoup de jeunes nous y allons avec du recul car nous ne voulions pas dire que nous venions d’un foyer et l’on craignait que cela se sache.